Des appels à la "rébellion" en Libye inspirés par le soulèvement en Égypte font craindre la contagion, poussant les deux partis rivaux dominant l'Assemblée nationale à reléguer au second plan leur rôle législatif pour ne pas être la cible des protestataires.
Plusieurs pages Facebook ont été créées, telles que "Mouvement refus" qui comptait dimanche plus de 9.000 membres, ou "Mouvement Tamarrod de la nouvelle Libye pour faire tomber les partis" (5.600 membres). Ces groupes réclament notamment la dissolution des partis et des milices armées.
Ils tentent d'imiter le mouvement Tamarrod (rébellion) en Egypte qui a abouti à la destitution du président islamiste Mohamed Morsi.
Les militants derrière ces groupes estiment que la lutte pour le pouvoir entre les deux partis rivaux, l'Alliance des forces nationales (AFN, libérale) et le Parti pour la Justice et la Construction (PJC), bras politique des Frères musulmans en Libye, paralyse les travaux de l'Assemblée nationale et retarde la rédaction d'une Constitution.
L'AFN et le PJC s'accusent mutuellement de s'appuyer sur des milices pour accaparer le pouvoir.
Le Congrès général national (CGN), la plus haute autorité du pays, issu des élections du 7 juillet 2012, a pour mission de conduire le pays, en 18 mois, à des élections générales après la rédaction d'une Constitution établissant la nature du régime politique.
Plusieurs pages Facebook ont été créées, telles que "Mouvement refus" qui comptait dimanche plus de 9.000 membres, ou "Mouvement Tamarrod de la nouvelle Libye pour faire tomber les partis" (5.600 membres). Ces groupes réclament notamment la dissolution des partis et des milices armées.
Ils tentent d'imiter le mouvement Tamarrod (rébellion) en Egypte qui a abouti à la destitution du président islamiste Mohamed Morsi.
Les militants derrière ces groupes estiment que la lutte pour le pouvoir entre les deux partis rivaux, l'Alliance des forces nationales (AFN, libérale) et le Parti pour la Justice et la Construction (PJC), bras politique des Frères musulmans en Libye, paralyse les travaux de l'Assemblée nationale et retarde la rédaction d'une Constitution.
L'AFN et le PJC s'accusent mutuellement de s'appuyer sur des milices pour accaparer le pouvoir.
Le Congrès général national (CGN), la plus haute autorité du pays, issu des élections du 7 juillet 2012, a pour mission de conduire le pays, en 18 mois, à des élections générales après la rédaction d'une Constitution établissant la nature du régime politique.
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